Suite de la visite de Chine en 2001.

CANTON 2001 (partie 4)


Le vieux quartier du marché Qin Ping. Tout est en train de disparaître. Il faut faire vite, d'ici deux ans ce quartier sera rasé pour faire place à des immeubles 50 étages flambants neufs.
Bientôt on ne verra plus ces ruelles ombragées et fort agréables en été. Même Canton va plier face au bussiness qui prend le pouvoir en conquérant. Dommage... mais il faut bien reconnaitre que le quartier est franchement dégueu et trop difficile à réhabiliter...
Autrefois, le marché était bien rangé, avec des étals et tout et tout. Maintenant le véritable marché a été déplacé et ne restent que les insoumis. On vend de tout...
... de la bidoche...
en passant par les cabris...
pour finir par la bouffe toute prête.
On suppose que monsieur est en train d'étudier les dernières cotes, en vue des paris de la journée.
Devanture typique des maisons des ruelles de Canton. Les gens se retrouvent derrière des barreaux... horizontaux... là est la nuance...
On constate que les transports manuels tiennent toujours leur place dans cette ville, et ce malgré les motos et les voitures.
Le vélo n'est pas à négliger également...
Encore une petite venelle où il fait bon vivre, en dehors du bruit et de la pollution des artères principales de la ville.
On y discute tranquillement... n'est ce pas mesdames ?
Et on y joue ses éconocroques également... n'est ce pas messieurs ?
Encore un grossiste en épices.
Une rue tranquille de Canton. On profite d'un feu rouge, qui trompe l'oeil. Deux secondes après, la rue est bondées de véhicules de toutes sortes.
Attention madame, un vélo arrive sur votre gauche !
Le gars a l'air de souffrir sur son vélo-camion. J'aimerais pas être à sa place.
Un échoppe d'épices et de pharmacopée traditionnelle chinoise.

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